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Études de cas

Nous avons tous des comportements improductifs, il s’agit de savoir les détecter. Le but de la formation est d’arriver à faire notre travail avec un minimum de gaspillage de temps d’énergie et le faire avec plaisir, élégance aisance et assurance.

Voici deux exemples parmi les 83 comportements identifiés :


Situation:
Un gestionnaire donne une tâche à son employé et le travail ne s’effectue pas comme souhaité. Il s’agit là d’un manque d’efficience au niveau de la décomposition de la tâche chez les deux personnes concernées. La personne qui donne la tâche ne l’a pas assez scindée, et il n’a pas fait un suivi assez serré auprès de son employé. La personne qui reçoit l’information ne la comprend pas ou l’interprète mal. Elle fait la tâche en ne répondant pas au critère.

Conséquences:
Le gestionnaire se voit exaspéré de la situation et l’employé se décourage. Il en résulte une détérioration du climat de travail. Le manque d’efficience engendre alors du stress et une démotivation au niveau des deux parties.


Situation:
La personne qui en fait plus que nécessaire est dispendieuse au niveau du temps dans une entreprise. Elle a une bonne volonté, ce qui est très louable, mais a aussi de la difficulté à voir l’essentiel.

Conséquences:
Cette situation entraîne souvent du retard dans les échéanciers et des heures supplémentaires à payer.

Le but de la formation est de découvrir ce qui est improductif dans notre façon de penser, de se comporter au quotidien. Ainsi pouvoir se réaliser davantage sans obstacle et atteindre les objectifs personnels en lien avec les objectifs de l’entreprise. Voici quelques extraits de séances de coaching :

Un jeune gestionnaire accepte un poste où il avait fait un stage durant ses études. Il dépense beaucoup d’énergie afin de réussir à accomplir sa tâche de gestionnaire. Il ne se sent pas écouté des employés dont la moyenne d’âge est de 40 à 60 ans. Il leur donne des ordres, mais les employés ne les respectent pas. Il n’atteint pas ses objectifs avec eux. Bref, il n’est pas heureux et le climat de travail est malsain.

Avec l’aide des outils appris dans la formation et grâce au coaching personnalisé, le jeune cadre réalise qu’il avait mis, sans vraiment s’en apercevoir, le manteau de son prédécesseur. Étant plus jeune, il avait senti le besoin d’être autoritaire pour se faire respecter.

Coaché
« Depuis ma formation, mes employés ne me reconnaissent plus. Ils se demandent ce qui s’est passé. Je suis de bonne humeur, je leur dis joyeusement “bonjour” quand j’arrive le matin… Je suis moi, sans masque et je n’ai plus peur de ne pas me faire écouter. Je ne les juge plus et ils ne me jugent plus. Cette énergie négative est tombée, car je me suis permis d’être moi-même. »

Situation
Louise est une talentueuse analyste programmeuse, le « cerveau des logiciels » au sein de l’entreprise. Cependant, Louise a de sérieux blocages au niveau de l’organisation physique. Son employeur affirme avoir payé plusieurs cours d’organisation à Louise, mais elle ne change pas.

C’est une personne très épanouie dans la session. La formation prend tout son sens et elle travaille vraiment l’atteinte de ses objectifs pour être plus performante au niveau de ses logiciels. Mais la stratégie pour mieux s’organiser ne lui semble pas problématique.

Lors de son coaching à son bureau, nous réussissons à libérer un espace entre des piles de papiers pour réussir à nous voir. Ensemble, nous faisons un retour sur ses objectifs en prenant chacun des outils appris lors des sessions de formation.

Pendant son coaching, le téléphone sonne, elle cherche un papier sur une pile, dans l’autre pile, elle ne trouve pas. Elle me jette un regard qui en dit long… Elle raccroche le téléphone sans avoir trouvé le papier. Je poursuis son coaching sans dire un mot sur cette attitude visiblement improductive.

Le lendemain, je faisais un coaching dans un bureau de l’un de ses collègues. Louise avait loué un diable pour sortir des caisses de livres de son bureau.

Commentaire
Louise a compris ici le « sens » de savoir s’organiser et les retombées dans son quotidien de ce concept. Tant que ce déclic ne se fait pas dans le cerveau, l’apprenant ne procèdera pas au changement. Ceci nous aide à comprendre le mandat précis du formateur qui consiste à donner du « sens » à ce qui ne paraît pas évident pour le participant.

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